Tabac
LE SOUFFLE COURT, de Georges de Cagliari
La lutte contre le tabagisme est une obligation. Si l’on peut s’en réjouir pour des raisons évidentes de santé publique, l’entreprise qui subit les conséquences de l’absentéisme lié au tabac, se trouve souvent dans la difficulté d’avoir à gérer le problème dans ses murs.
Objet
Il importe donc qu’au minimum les fumeurs et les non-fumeurs élaborent une règle de conduite dans le respect de la loi. De plus, il est dans l’intérêt de l’entreprise de contribuer à faire prendre conscience aux fumeurs des risques qu’ils encourent et des incidences non négligeables que l’usage du tabac a sur leur travail, sur leur disponibilité et sur leur capacité d’attention à ce qu’ils font.
Trame
Face au tabagisme, la loi impose à l’entreprise un certain nombre de contraintes. Même s’il semble facile de les faire respecter, cela ne va pas sans tiraillement entre fumeurs et non-fumeurs. Par ailleurs, économiquement cela induit un réel manque à gagner pour l’entreprise, compte-tenu des temps de pauses pris par les fumeurs. Il est vrai qu’une entreprise ne peut pas être indifférente aux risques encourus par son personnel sur le plan de la santé : d’abord pour des raisons humanistes mais aussi en raison de l’absentéisme que peuvent induire ces mêmes problèmes de santé. La pièce « Le souffle court » traite du tabagisme sans opposer ni culpabiliser, mais en soulignant le bénéfice qu’un fumeur tire à s’arrêter.
Objectifs
Contribuer par une action interne à résorber un problème à la fois social et économique.